Dans une ambiance sonore composée de chants d’oiseaux, de ruisseaux qui murmurent… Nicole Coppey, accompagnée au violoncelle par Domitille Coppey, interprète 18 poèmes extraits de l’œuvre de 18 poètes originaires des cinq continents. Avec comme parti pris la sobriété et la simplicité, Nicole Coppey choisit de donner vie aux préoccupations éternelles et universelles de l’homme : l’amour, le désespoir de l’exil, ou encore l’inaliénable désir de liberté.
La voix chaude du violoncelle, tantôt grave tantôt fantasque, donne à l’ensemble, son unité et sa cohérence que les sons de la nature ouvrent sur le monde.
- « Invention du langage », Anonyme (Paraguay)
- « Effeuillement sacré », César Vallejo (Pérou)
- « L’allumette », Sano Malifa (Samoa)
- « Ce n’est pas la mer… », Anonyme populaire (Sao Tomé et Principe)
- « Plus beau que tout », Pär Lagerkvist (Suède)
- « Ghazel de l’oubli », Bédil (Tadjikistan)
- « La maison », Juana de Ibarbourou (Uruguay)
- « Mardi gras », Vicente Gerbasi (Venezuela)
- « Sur le pont de la rivière vide », Abdel Aziz Al-Maqalih (Yémen)
- « Préface », Messouar Boulanouar (Algérie)
- « La rivière d’autrefois », Al Mahmud (Bangladesh)
- « Psaume 41″, Toukâram (Inde)
- « Lettre d’une mère », Asrul Sani (Indonésie)
- « Je reviendrai », Claude Mac Kay (Jamaïque)
- « La cueillette des fleurs », Kitahara Hakushû (Japon)
- « La mer », J. Rabemananjara (Madagascar)
- « La terre est à Dieu », Mohammad Iqbal (Pakistan)
- « Les yeux », Mayy Ziyada (Palestine)
